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ASSOCIATION

SUZANNE KAMARA

SUZANNE KAMARA

Une Voix pour les Enfants Handicapés

Nom de l’organisme : Association suzanne kamara

Sigle :           ASK

Adresse postale : comico Mermoz N°98   BP 28107 Médina

Ville : Dakar

Pays : Sénégal

Tel : +221 77 609 91 52

Site Internet : www.suzannekamara.com

Email : contact@suzannekamara.com

Journal officiel   N° 6497 du Samedi 7 novembre 2009

Antenne et  correspondants/ Toutes les régions du Sénégal

France – Italie – USA – Allemagne – Angleterre

Objectifs

Organisation de solidarité à vocation internationale immatriculée sous le n°11413  et reconnue d’utilité publique, L’Association Suzanne Kamara une voix pour les enfants a pour but de susciter, promouvoir, conseiller et aider les actions en faveur des enfants handicapés dans le domaine de la SANTE de la SCOLARISATION et des LOISIRS et  de contribuer à l’application de la convention Internationale des droits de l’enfant. Elle cherche   à offrir en priorité aux femmes handicapées rurales des formations des outils et des moyens financier leurs permettant d’avoir une autonomie financière. De conscientiser aussi le peuple sur la situation des enfants en situation de handicap, leur accès aux services sociaux de base.

Selon la fondatrice suzanne kamara grande diva de la chanson elle-même atteinte de Polio à l’age de quatre ans : « Pour notre association, la personne en situation d’ handicap doit être considérée comme une personne humaine et un acteur social à part entière. Elle dispose des mêmes droits que chacun, elle remplit les mêmes devoirs. La personne en situation d’handicap a ses aspirations, ses projets. La société doit  la reconnaître comme citoyen à part entière et lui donner sa place et sa chance et l’aider à devenir acteur de sa vie.

La fondatrice

La grande diva Suzanne kamara a vu le jour le 02 novembre 1967 à khombol où feu son père colonel dans l’armée a été affecté. une autre affectation de son père comme préfet à Kolda lui fut fatale car comme elle dit dans une des ses chanson à kolda j’ai fait mes premiers pas à kolda j’ai fait mes derniers pas. En effet à l’âge de trois ans,  elle fut atteinte de polio et se  déplacera désormais en fauteuil roulant. Devenue artiste à 14 ans elle fut dés ses débuts propulsés grâce à sa belle voix au pinacle de son art. Elle eut la chance de rencontrer les grands de ce monde : Jean Paul ll la famille Clinton Nelson Mandela ainsi que les principaux chefs d’Etat africains.

Aujourd’hui mariée et mère de deux petites filles elle se donne plus de courage pour aller en avant ; son Excellence maître Abdoulaye Wade en lui confiant l’interprétation de l’HYMNE DE LA RENAISSANCE AFRICAINE matérialise son amour inconditionnel envers elle.

Son talent elle le doit à la nature mais aussi à sa rigoureuse formation à l’école nationale des beaux arts de Dakar elle est diplômée du conservatoire de Dakar en solfège piano chant et percussion. Ce qui lui a valu le titre de voix d’OR du Sénégal dés la sortie de son premier album Dagouwalé.

Actuellement à la tête de son orchestre  Le Wassila, elle trouve malgré tout le temps pour s’investir dans des actions humanitaire à travers son Association: Suzanne kamara une voix pour les enfants où elle se bat pour la protection des enfants en situation de handicap, des enfants défavorisées et les femmes victimes de violence. Auteur, compositrice et interprète, elle est devenue à travers le monde  un symbole de bonne volonté  de par ses actions visant à améliorer la condition des défavorisés. Suzanne est unique Premier Prix de CHANT de son pays. 

En résumé

L’Association suzanne kamara  a été créée afin de venir en aide aux enfants handicapés.
Par une écoute, un soutien, une présence, l’organisation d’évènements et de loisirs,
nous souhaitons leur améliorer leur vie au quotidien, leur apporter un nouveau sourire, une nouvelle chaleur humaine. Nous souhaitons mettre en place des activités diverses, créer des loisirs adaptés à leurs conditions de vie. Nous souhaitons prouver que l’on peut réussir notre projet avec pour principale aide la motivation, l’entraide et le soutien.

L’Association suzanne kamara une voix pour les enfants demande que la loi garantisse aux personnes qui ne peuvent pas travailler un revenu d’existence égal au Smic, sans prendre en compte les ressources du conjoint ou des parents

Voir toute les details de l'association
SUZANNE KAMARA

GALERIE

ANALYSE DU CONTEXTE

Aller à  l’école, faire des études, avoir des activités de  loisirs avec des  jeunes de son âge, c’est le quotidien d’une majorité d’enfants, adolescents et jeunes adultes. Mais  pour les enfants et les jeunes en situation de handicap, ce quotidien ne coule toujours pas  de  source,  même  si, depuis  quelques  années,  on  constate  des  améliorations, parfois plus quantitatives que qualitatives.  D’autant plus que l’éducation est à la fois un droit fondamental et une obligation citoyenne.

Malgré une école censée être ouverte à  tous,  le handicap provoque préjugés et réticences, surtout chez les adultes, qu’ils soient enseignants ou parents. Pourtant ce sont eux qui ont la responsabilité de guider les enfants dans l’accueil de la différence ! Chez les   enseignants,  la peur de ne pas savoir comment s’y prendre, essentiellement par  manque  de  formation,  conduit  souvent  au  rejet.  De  plus,  ils n’ont pas le  temps  de  prêter l’attention nécessaire à des élèves en situation de handicap.

Chez les « autres » parents, on retrouve aussi l’idée  fausse qu’un enfant en situation de handicap pourrait  ralentir  le  rythme de  travail pour  l’ensemble de  la classe,  empêcher  leur  propre  enfant  de  progresser. Plus grave certains refusent que leurs enfants fréquentent un enfant en situation de handicap. Comme si  le handicap est  contagieux.

C’est  bien  pour  cela  qu’il  est  nécessaire  que l’ensemble des parents soient sensibilisés mais aussi que  les  enseignants  reçoivent systématiquement une formation,. Il faut aussi que  les modes d’accompagnement des enfants en situation de handicap soient réellement repensés et acceptés au sein de l’école.

 Pour permettre aux élèves en situation de handicap de choisir leurs établissements, il faudrait tout  d’abord  agir  en  termes  d’accessibilité  des  locaux,  de  la  salle  de  classe  à  la  cantine,  en passant par l’administration, les toilettes, les lieux de vie commune, les espaces  de sport… mais aussi en termes humains: par exemple en suède j’ai constaté qu’il existe les auxiliaires de vie scolaire  et les emplois de vie scolaire. Ces personnes, présentes à  l’école, aident  l’enfant, sans se substituer à  lui, de  façon  pratique,  par  exemple  dans  l’écriture,  les  déplacements…  

Pour terminer  faut  retenir qu’à l’évidence les liens entre les enfants du même âge doivent commencer dès la petite enfance, par un  accueil  en  crèche,  pour  se  poursuivre  tout  au  long  de  la  vie  scolaire  et universitaire. En effet c’est  en  permettant  ainsi  le  plus  possible  à  des  enfants  en  situation  de  handicap  d’être accueillis en crèche, puis à l’école que tous les enfants et adolescents, quels qu’ils soient et d’où qu’ils viennent, pourront concevoir une société  réellement ouverte à  tous,  incluant  les différences. Ainsi les élèves en situation de handicap auront les mêmes chances et sentiront qu’ils sont « inclus », non exclus. le plus important c’est d’apprendre tôt aux enfants de vivre avec ceux en situation de handicap.

Objectifs

Organisation de solidarité à vocation internationale immatriculée sous le n°11413  et reconnue d’utilité publique, L’Association Suzanne Kamara une voix pour les enfants a pour but de susciter, promouvoir, conseiller et aider les actions en faveur des enfants handicapés dans le domaine de la SANTE de la SCOLARISATION et des LOISIRS et  de contribuer à l’application de la convention Internationale des droits de l’enfant. Elle cherche   à offrir en priorité aux femmes handicapées rurales des formations des outils et des moyens financier leurs permettant d’avoir une autonomie financière. De conscientiser aussi le peuple sur la situation des enfants en situation de handicap, leur accès aux services sociaux de base.

Selon la fondatrice suzanne kamara grande diva de la chanson elle-même atteinte de Polio à l’age de quatre ans : « Pour notre association, la personne en situation d’ handicap doit être considérée comme une personne humaine et un acteur social à part entière. Elle dispose des mêmes droits que chacun, elle remplit les mêmes devoirs. La personne en situation d’handicap a ses aspirations, ses projets. La société doit  la reconnaître comme citoyen à part entière et lui donner sa place et sa chance et l’aider à devenir acteur de sa vie.

Actions

L’Association suzanne kamara une voix pour les enfants définit régulièrement les grands axes de revendications de l’association à partir de l’expression de ses adhérents.

Ces revendications sont portées à la fois devant les ministères, les administrations centrales, les collectivités locales. L’Association suzanne kamara une voix pour les enfants  intervient également par l’intermédiaire du Forum Européen des personnes handicapées auprès de l’Union Européenne. Il s’agit d’un travail mené au quotidien par le conseil d’administration de  L’Association suzanne kamara une voix pour les enfants, de sa direction générale et des délégations départementales de l’association.

Régulièrement, l’association est amenée à organiser des actions médiatiques  pour appuyer l’expression des personnes en situation de handicap et leur famille : conférences de presse,  interviews, dialogue avec le public durant les concerts.

Garantir un réel accès aux droits fondamentaux à toutes les personnes en situation de handicap

Tout citoyen doit avoir accès aux droits fondamentaux proclamés dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme : droit à l’éducation, droit au travail, droit à des ressources décentes, droit de libre circulation, droit à la liberté d’opinion et d’expression, etc. La personne en situation de handicap doit être à égalité de chance avec les autres citoyens pour l’accès aux droits fondamentaux.

La situation de handicap – résultat de l’interaction entre les limitations liées aux facteurs personnels et les barrières créées par les facteurs environnementaux – induit une rupture d’égalité des chances qui limite la participation sociale.

Il est donc nécessaire de mettre en place un processus d’égalisation des chances afin de permettre aux personnes d’accéder à une autonomie et à une participation sociale pleine et entière.

Ce processus d’égalisation des chances implique deux principes d’actions :

  • le principe d’accès à tout pour tous
  • la compensation individualisée

Le principe d’accès à tout pour tous
L’accès à tout pour tous vise à ce que la société dans son ensemble prenne en compte, dans le cadre d’une politique de non-discrimination, les besoins de tous à travers l’ensemble des mesures législatives et réglementaires, les actions sur l’environnement, les changements d’attitude, l’adaptation des services ouverts à tous, l’exercice effectif des droits, etc.

Le principe de compensation individualisée
Il vise à compenser, par une politique de protection sociale, la rupture d’égalité qui peut encore exister à titre individuel malgré la mise en oeuvre du principe d’accès à tout pour tous.

Pour une participation sociale à part entière La réalisation de ces deux principes “accès à tout pour tous” et “compensation individualisée” permet à la personne en situation de handicap d’acquérir l’autonomie, d’accéder à une participation sociale et aux activités de la société dans l’égalité.

La personne en situation de handicap se trouve alors à égalité de chance avec tous les citoyens dans l’accès aux droits fondamentaux et peut ainsi exercer une pleine citoyenneté.

Revendications

Les revendications de L’Association suzanne kamara une voix pour les enfants  sur :

  • L’accessibilité des lieux publics et des transports
  • L’éducation et la scolarisation
  • L’emploi
  • Le droit à la compensation

L’accessibilité des lieux publics et des transports

Une des demandes fortes de L’Association suzanne kamara une voix pour les enfants  est la mise en accessibilité des lieux recevant du public existants.

Le principe de l’accessibilité est certes affirmé dans l’article 1er de la loi du 30 juin 1975. Pourtant, force est de constater qu’il y a un fossé entre les principes et la réalité…sortir faire les courses, aller à la poste, au cinéma, au musée, se déplacer chez un médecin, vouloir retirer de l’argent dans un distributeur automatique, faire du sport, partir en vacances….autant de choses de la vie quotidienne qui demeurent encore en 2004 un véritable parcours du combattant pour les personnes en situation de handicap et leur famille.

C’est   propose L’Association suzanne kamara une voix pour les enfants de renforcer les obligations actuelles dans les domaines du cadre bâti et des transports, de manière à combler l’écart existant et de donner de l’effectivité à la loi (en prévoyant des dispositifs d’effectivité et notamment des contrôles réguliers des conditions de mise en oeuvre).

La loi doit comporter des incitations fortes et organiser une réelle mise en accessibilité des équipements existants dans le cadre d’une programmation pluriannuelle.

Il est certes plus facile d’inciter à la mise en accessibilité dans les grandes villes, néanmoins   L’ Association suzanne kamara une voix pour les enfants souhaite pointer les préoccupations des personnes en situation de handicap et de leur famille qui vivent dans les petites communes.

Concernant les transports, L’Association suzanne kamara une voix pour les enfants souhaite l’accessibilité à tous les moyens de transports publics (bus, trains, avions, …), en complémentarité  donner un objectif 2015 pour les transports spécialisés.

L’éducation et la scolarité

L’accueil des enfants de moins de six ans en situation de handicap doit être obligatoire dans les lieux ordinaires d’accueil de la petite enfance : crèche, école maternelle.

Le principe de l'”accès à tout pour tous” doit s’appliquer au milieu scolaire en général. Tous les enfants, quelles que soient leurs difficultés, doivent être obligatoirement inscrits de droit dans leur école de quartier et cela dès la maternelle.

L’école doit être responsable du projet de scolarisation de l’enfant inscrit quel que soit le lieu d’accueil. L’école se voit confier le suivi et l’évaluation régulière de la scolarisation de l’enfant, pour maintenir ou tendre vers un retour momentané ou durable en scolarité ordinaire. En fonction des besoins de l’enfant ou de l’adolescent, un accueil en établissement adapté est nécessaire. Les passerelles avec le milieu ordinaire doivent être maintenues.

Tous les lieux scolaires et universitaires doivent être accessibles en ce qui concerne les locaux et les transports.

Si besoin et en association avec les familles, un plan d’aide sera établi et fixera les moyens de compensation à prévoir : aides humaines, aides techniques et matériels adaptés

L’emploi

L’accès au droit fondamental au travail suppose :

  • d’agir sur les facteurs environnementaux pour permettre aux personnes en situation de handicap d’accéder librement aux entreprises et aux dispositifs de droit commun
  • de mettre en oeuvre les moyens de compensation individuelle adaptés à la situation de chacun

En conséquence, L’Association suzanne kamara une voix pour les enfants  demande que tous les dispositifs :

  • d’information et d’orientation  soient pensés et organisés de manière à répondre aux préoccupations de toute personne en situation de handicap.
  • d’enseignement professionnel et de formation professionnelle doivent mettre tout en oeuvre pour accueillir les personnes en situation de handicap

Toute entreprise, privée ou publique, et la fonction publique, doivent prévoir dans leur fonctionnement général, l’accueil des personnes en situation de handicap, en développant de façon volontariste une politique :

  • de gestion des ressources humaines, d’information et de sensibilisation des salariés et des instances représentatives du personnel
  • d’accessibilité de l’environnement professionnel, en étendant l’obligation d’accessibilité à tous les lieux de travail et ce, quel que soit l’effectif des salariés
  • d’accès aux nouvelles technologies

 

Le droit à compensation

Pour une véritable compensation individualisée des surcoûts liés au handicap

L’Association suzanne kamara une voix pour les enfants demande un dispositif unique et intégral de compensation, quels que soient l’âge du bénéficiaire, l’origine et la nature de son handicap et la non prise en compte de ses ressources pour sa mise en oeuvre.

Pour des ressources décentes

 L’Association suzanne kamara une voix pour les enfants demande que la loi garantisse aux personnes qui ne peuvent pas travailler un revenu d’existence égal au Smic, sans prendre en compte les ressources du conjoint ou des parents

LES PROGRAMMES

Guides pratiques pour la gestion familiales et le suivi de l’enfant

Accueil téléphonique pour accompagner et soutenir les parents d’enfants disparus

Centres d’accueil pour l’éducation, la formation et l’insertion professionnelle  d’enfants de la rue

Campagnes de communication

Célébration de la journée internationale de l’enfant disparu le 25 mai de chaque année

Célébration de la journée de la femme le 08 mars chaque année

Prises de paroles dans les médias pour la défense de l’enfant et de la femme violentée

Problématique des maltraitances à l’enfant

Outils juridiques en matière de protection de l’enfance

Disparitions et enlèvements des enfants

Violence faite aux femmes

Nouveaux défis du lien précoce parents enfants: quelles pratiques aujourd’hui pour les professionnels ? 

Convention Internationale des Droits de l’Enfant au Sénégal

 Fugue: de la fuite au retour quelle solution pour l’insertion.

Métiers de l’enfance: une qualification pour les enfants en difficultés

Protection des enfants au cours des séparations parentales conflictuelles

Soutien financier tous les ans, sur appel à projets, à une centaine d’enfants, de femmes, de villages et de villes    pour contribuer au développement de l’action retenue  pour la cible.

Mettre en compétition, tous les deux ans, des prix scientifiques de 5 000 000 FCFA à des équipes de chercheurs et à des étudiants dans tous les domaines de la protection de l’enfance et de la femme.

Récompenser chaque année les meilleures réalisations audiovisuelles destinées à sensibiliser le grand public à la question de l’enfance en danger et de la femme sur trois catégories de 2 000 000 FCFA chacune :- émissions pour la jeunesse, – fictions, – et documentaires.

Les PARTENAIRES qui intéressent  notre Association

 Présidence de la République – Primature –   Ministère des mines et de l’industrie – Ministère de la décentralisation et des collectivités locales –  Ministère de la santé- Ministère de la culture – Ministère de la jeunesse – Ministère de la Femme de la famille et de la Micro finance Ministère de la solidarité nationale – Etat major Général des Armées –   Ambassade des Etats Unis d’Amérique – Ambassade de France UNICEF – Plan International   


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